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  • : ISRAEL SIONISME MAG : Journal en ligne uniquement dédié à Eretz Israel עתון ישראל
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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 23:55
Et oui c'est fait !! Après près de huit mois de travaux visant à vous procurer une bonne information concernant Eretz Israel, nos efforts sont encore récompensés !
En effet, depuis le 15 Fevrier, le blog d'information Israel Sionisme Magazine (dorenavant appellé ISM pour faire plus court) s'affiche premier sur les site web affichés lorsque vous cherchez des informations claires sur Google .
Voyez par vous même ! :
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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 22:53
מנחם בגין
http://www.knesset.gov.il/vip/images/begin4.jpg

Menahem Begin (né Menahem Volfovitz Begin) (en hébreu : מנחם בגין) (né le 16 août 1913Brest-Litovsk - décédé le 9 mars 1992 à Jérusalem) était un homme politique israélien. Il devint le sixième Premier ministre d'Israël de mai 1977 à août 1983.

Begin, qui avait toujours été considéré comme un faucon de la politique israélienne, négocia les accords de paix de Camp David avec le Président égyptien Anouar el-Sadate, sous la médiation américaine du Président Jimmy Carter. Il fut alors convenu du retrait de Tsahal de la péninsule du Sinaï, restituée à l'Égypte. Ces accords, qui concrétisèrent le principe diplomatique d'échange "Territoires contre Paix", valurent aux deux négociateurs le Prix Nobel de la Paix en 1978. Les négociations continuèrent jusqu'à la signature du Traité de paix israélo-égyptien de 1979 qui mit un terme définitif aux menaces militaires égyptiennes aux frontières de l'État d'Israël.

Autre lien vers "Menahem Begin" sur le site web de la Knesset (en anglais).


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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 22:47



Aujourd'hui, cela fera 15 ans que Menah’em Begin nous a quittés. Comme chaque année, une cérémonie aura lieu au cimetière du Mont des Oliviers où il est enterré.

Hier soir, la télévision israélienne diffusait une émission spéciale depuis les locaux du Centre de l’Héritage Menahem Begin  lors de laquelle les séquences d’archives émouvantes se succédaient aux interventions de personnalités ayant côtoyé cet homme hors du commun. Impossible de ne pas frissonner en entendant les extraits des discours de ce tribun.

Le fait que cette année, tous les médias marquent tout particulièrement cette commémoration, montre le manque de ce genre d’hommes politiques dans la situation que vit actuellement le pays. Le directeur du Centre a d’ailleurs indiqué que jamais il n’y a eu autant de visiteurs dans ce lieu qui retrace la vie et l’action de Begin. Et parmi les visiteurs, un homme extrêmement ému : un Vietnamien, aujourd’hui marié à une israélienne et père d’une petite fille, et qui parle dans un hébreu parfait de Begin comme de son sauveur. En effet, la première décision qu’avait prise Menahem Begin une fois devenu Premier ministre, fut d’accueillir en Israël une soixantaine de « Boat people » vietnamiens, abandonnés en mer, et qu’aucun autre pays n’avait voulu accepter.

Le mot qui est revenu le plus dans la bouche des intervenants a sans conteste été « Manhigout », que l’on pourrait traduire par « autorité », mais dans son acceptation positive : ce sentiment impalpable qui passe entre une population et un dirigeant, et qui fait que cette population ressent qu’il y a un « berger à la tête du troupeau », avec lequel elle se sent en phase.

Menahem Begin fait partie des hommes politiques qui ont « fait l’Histoire ». Que l’on soit d’accord ou non avec son idéologie, avec toutes les décisions politiques qu’il a prises, on ne peut lui enlever ses qualités fondamentales qui sont devenues hélas de plus en plus rares, voire inexistantes.

Au niveau idéologique, rares ont été les hommes politiques qui ont fait de la défense du peuple juif leur devise. Marqué par son passé, Begin a traduit en paroles et en actes la priorité donnée au peuple juif, quelles qu’en fussent les conséquences. Quel dirigeant aujourd’hui serait capable comme lui de parler aux grands de ce monde comme il le faisait, sans complexes, juif fier et debout ? Alors que de nos jours, « on ne veut pas froisser les Américains » ou « on veut associer les Européens », Begin n’hésitait pas à donner la leçon à ceux qui considéraient qu’Israël était encore le « petit juif à qui on peut dicter ce qu’il doit faire ». Cette fierté juive décomplexée qu’il arborait a complètement disparu du comportement politique israélien, que ce soit face à l’Occident ou aux Arabes. S’il vivait aujourd’hui, il aurait su quoi dire à Jacques Chirac ou à Jimmy Carter, et aurait sûrement rendu son prix Nobel de façon fracassante. Pour le Pr. Aryeh Naor, qui fut son proche conseiller, Menahem Begin a « érigé en doctrine le fait de ne pas permettre aux ennemis d’Israël de développer les moyens de le détruire ». La destruction de la centrale atomique Osirak, condamnée dans le monde entier, fut l’application de cette politique qui préférait combattre le mal à la racine plutôt que de louvoyer jusqu’à ce qu’il ne soit trop tard.

Menahem Begin mérite les « circonstances atténuantes » même pour les décisions douloureuses qu’il a prises, notamment celle de donner le Sinaï aux Egyptiens et l’évacuation de Yamit. Comme l’a dit avec justesse Dan Méridor « tout le monde savait que ses décisions étaient motivées par des intérêts nationaux mais en aucun cas par des intérêts personnels ». Il faisait partie de cette trempe d’hommes d’Etat pour qui leur propre personne ne comptait pas face aux intérêts de la collectivité.

Car c’est surtout sur le plan personnel que Menahem Begin a montré l’exemple de ce que doit être un dirigeant d’Israël. Utilisant un langage propre et élevé, Begin s’est toujours distingué par sa tenue sobre, sa modestie, et son désintéressement personnel. Le débat politique parfois rude n’empêchait nullement son respect de ses interlocuteurs, y compris ses détracteurs.

La  « corruption » - même si le niveau zéro n’existe jamais dans l’arène du pouvoir – était quasi absente. La haute idée de la politique que se faisait Menahem Begin se reflétait jusque dans sa vie privée. Alors qu’aujourd’hui, on se gausse sur la mode  des « Volvo » et des multiples avantages dont jouissent les élus du peuple, parfois de manière insolente, Menahem Begin, devenu Premier ministre, avait tenu à continuer à habiter dans son modeste appartement. Homme extrêmement sensible, il a amené jusque dans sa tombe - après s’être retiré de la vie publique pendant des années - sa douleur des conséquences de la première guerre du Liban. Tout en étant convaincu qu’elle était cruciale pour éviter la création d’un « Etat palestinien » au Liban, il ne s’est jamais remis de la haine que lui manifesté la gauche israélienne, et du prix que cette guerre à coûté en vies humaines, car chaque soldat était comme l’un de ses fils.

Il est certain qu’Israël ne serait pas dans la situation actuelle, sur le plan politique, sécuritaire, social ou éthique, si Menahem Begin était au pouvoir aujourd’hui. Il n’y aurait eu ni accords d’Oslo, avec leurs conséquences désatreuses, ni évacuation du Goush Katif (préparée au moyen de procédés malhonnêtes). Les normes et les moeurs politiques seraient très différents. Et dire que le précédent et l’actuel premier ministre ont grandi sous ses ailes ! Quelle différence ! Begin avait su donner de la noblesse à la politique.

Vraiment, vous nous manquez beaucoup, Begin !

http://www.axisglobe.com/Image/2006/03/31/Begin/4.jpghttp://www.harunyahya.org/kitap/hy_terorun_perde_arkasi/res/Mossad2.jpg


Vous pouvez retrouver le profil de Menahem Begin dans la rubrique "portraits".
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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 22:42







David Dahan, important diplomate israélien s’est entretenu lundi matin par téléphone avec un membre de sa famille avant de disparaître de son domicile parisien. Son absence, depuis, inquiète Israël en général et le ministère de la Défense en particulier.

Selon les forces de police qui ont pénétré dans son appartement, il aurait laissé une lettre qui pourrait peut-être expliquer sa disparition. « Je n’en peux plus », aurait écrit Dahan.

Ce mardi matin, les autorités françaises ont décidé d’intensifier les recherches de ce directeur général de la mission européenne, rattaché au ministère de la Défense israélien. La Brigade criminelle a été saisie en raison de la personnalité du disparu.

Tout a commencé hier, lundi, à 6 heures du matin, quand des proches n’ont pu réussir à le joindre au téléphone. Après plusieurs essais infructueux, ils auraient informé la mission israélienne de leurs inquiétudes. Selon des informations émanant des autorités françaises, Dahan aurait avant cela eu un échange téléphonique violent avec un membre de sa famille et n’aurait pas raccroché le combiné à l’issue de la conversation. Lundi matin, Dahan ne se présentera pas sur son lieu de travail, situé dans les environs de Paris.

Les heures s’écoulent et Dahan reste injoignable : son portable ne répond pas, le système de géolocalisation de son véhicule a été désactionné et il n’est pas à son domicile. Les policiers qui forceront la porte de son appartement ne trouveront qu’une lettre de désespoir. Mais les officiels du ministère de la Défense ont fait savoir que toutes les pistes étaient exploitées, même celles qui n’auraient aucun rapport avec ce courrier.

Dahan a été dépêché par le ministère en juin dernier dans la capitale française pour prendre la tête de la mission européenne du ministère de la Défense israélien. Par le passé, il avait été envoyé à Bruxelles.
Agé de 54 ans, Dahan était en proie à de graves problèmes familiaux, et les sources policières françaises considèrent que la thèse du suicide serait « l'hypothèse la plus plausible ».

Selon la presse israélienne, le diplomate avait sombré dans une grande dépression à la suite d'une demande de divorce formulée par sa femme.

Plus tard,
les membres de sa famille ont contacté les autorités lorsqu’ils n’ont plus réussi à le joindre.

Le site Ynet rapporte que sa dernière conversation téléphonique avec l’un de ses proches aurait été orageuse et qu’il aurait coupé brutalement la communication. Par la suite, il n’aurait plus répondu aux appels qui lui étaient adressés et l’appareil permettant de localiser sa voiture aurait été débranché.

C’est alors qu'une enquête a été ouverte, révélant que Dahan ne se trouvait pas dans son appartement. Selon certaines sources politiques, une lettre dont le contenu était lié à sa disparition aurait été découverte.

Après de nombreuses recherches effectuées par les services de secours français, aidés par la suite par l’organisation Zaka, oeuvrant en Israël notamment après les attentats, un corps a été repêché mercredi dans la Seine, près de la ville de Rouen, à environ 130 km de Paris.

La police a estimé qu’il s’agissait sans doute de l’Israélien, après avoir comparé avec le signalement du disparu. Il semble pratiquement certain qu’il s’agit bien de David Dahan mais pour s’en assurer, les autorités locales ont décidé de pratiquer un examen d'ADN sur la dépouille. Les résultats de l'analyse devraient être communiqués dans les 24 heures. La famille de l’Israélien a été informée des dernières démarches destinées à l’identifier.

David Dahan vivait seul à Paris et cela ne faisait pas longtemps qu’il séjournait dans la capitale française. Il avait été chargé de remplacer le chef de la délégation qui avait dû rentrer en Israël au mois de juin dernier afin de prendre la direction d’un service important du ministère de la Défense, surveillant les exportations sécuritaires.

Les enquêteurs israéliens ont mené leurs investigations en coopération avec la police française. Celle-ci s’est mobilisée pour tenter de retrouver la trace de l’Israélien en raison de son statut de diplomate étranger disparu sur le territoire français.



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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 21:10
IsraelSionisme Forum
ISRAEL PALESTINE DEBAT

Depuis aujourd'hui 20 Fevrier, la redaction du blog à créez un forum de discussions permanent.
Ainsi, vous aurez accès à des sujet de discussions comme le conflit Israelo-palestinien. Exprimez vous, laisser des messages et soyez sûr que les reponses fuseront. C'est un accès 24h sur 24. Parlez et exprimez vous sur l'adresse :

 http://israelpalestine.discutbb.com/
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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 14:31
Dpuis plusieurs mois, le gouvernement syrien trahit une certaine affiliation avec des partis extremistes voir avec des etats terroristes....
L'exemple le plus net est la prise de pouvoir par la force armée de la Syrie sur le Liban, ce qui créé forcément des violences dont la solution ne se resoudra peut-être qu'à une guerre civile.

Recemment, une organisation terroriste syrienne, "les comités de résistance pour la libération du Golan", a annoncé qu’elle détenait le soldat israélien Guy Hever, disparu le 17 août 1997 dans le Golan. Dans le communiqué qu’elle a publié, elle revendique la libération de neuf prisonniers syriens du Golan détenus en Israël. L’organisation terroriste qui prétend détenir le jeune militaire a été fondée l’été dernier avec la bénédiction du régime syrien.

La famille du soldat, qui réside dans la localité de Kohav Yaïr, dans le Sharon, a été avertie mardi soir, par téléphone, de cette affaire par un représentant de l’armée. Ce dernier a indiqué que les informations publiées par le site Ynet concernant le jeune homme étaient examinées. La mère de Guy, Rina Hever, consciente qu’il peut s’agir d’une guerre psychologique, a tout de même indiqué qu’elle avait toujours été convaincue que son fils était maintenu en captivité en Syrie. 

Elle a rappelé qu’au moment de sa disparition, alors que tout le monde prétendait qu’il s’était suicidé, elle avait rétorqué : "Si c’est le cas, où est le corps ?" Elle a ajouté : "Depuis le début, j’ai la conviction qu’il se trouve en Syrie. Je suis persuadée que le président syrien sait parfaitement ce qui se passe sur son territoire. J’ai toujours dit que l’affaire de Guy susciterait des changements dans les relations entre Israël et la Syrie. Reste à savoir combien d’obstacles nous rencontrerons sur notre chemin".

La mère de Guy a rappelé qu’elle avait dû se battre pendant des années pour prouver que son fils avait bel et bien disparu. Au départ, a-t-elle précisé, personne n’avait pris au sérieux la famille du soldat et les réactions des instances militaires avaient même été blessantes. Elle a ajouté : "Nous n’avons jamais été invités aux cérémonies pour les soldats disparus ou prisonniers. On se débarrassait de nous, on nous renvoyait de l’un à l’autre, et on nous regardait comme si nous venions de la lune". Malgré tout, les parents de Guy ont trouvé le réconfort auprès de quelques amis qui les ont toujours soutenus.

Cette épreuve est extrêmement difficile pour la famille Hever qui vit dans l’incertitude depuis dix ans. "Toutefois, souligne Rina Hever, nous tentons de vivre normalement, et nous ne devons absolument pas renoncer. Guy est toujours avec moi, et ne comprend pas pourquoi l’Etat l’a abandonné jusqu’à présent. Maintenant, nous devons nous battre pour le sauver".

Plus recemment encore, le president Syrien à fait une visite "de courtoisie" à son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejab pour "tenter de trouver une solution au problème Israelien"....

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 14:31

hezbsoldats.bmpLE HEZBOLLAH NOUS TESTE !

La découverte qu’a faite Tsahal à la frontière nord montre indéniablement qu’un pas a été franchi par le Hezbollah dans ses provocations envers Israël. Les quatre engins explosifs disposés sur le parcours emprunté par les patrouilles auraient pu se révéler extrêmement meurtriers.

Jusqu’à présent, nous savions que le Hezbollah se réarmait massivement, et les drapeaux jaunes plantés à proximité de la frontière démontraient que l’organisation terroriste reprenait ses quartiers au Sud-Liban, en dépit des décisions de l’ONU.

Cet événement constitue un démenti cinglant aux déclarations apaisantes d’Ehoud Olmert et de Tsipi Livni, selon lesquels «la guerre et le cessez-le-feu avaient au moins abouti à éloigner le Hezbollah de la frontière nord». D’après les renseignements militaires, le Hezbollah aurait déjà réussi à reprendre le contrôle de certains villages du Sud-Liban, et à y installer des fortins militaires. Ni l’Armée libanaise et encore moins les forces de la FINUL n’osent entrer dans ces villages. On sait maintenant aussi que le 11 janvier dernier, une unité française de la FINUL ainsi que de l’Armée libanaise ont été mises en état d’alerte suite à une information selon laquelle le Hezbollah s’apprêtait à commettre un attentat contre les forces israéliennes. Cette information avait été transmise aux autorités israéliennes, mais l’échelon politique avait refusé de déclarer l’alerte, car cela aurait constitué un aveu que le Hezbollah avait retrouvé sa force de nuisance le long de la frontière nord d’Israël.

En apprenant hier la découverte de ces engins piégés, l’armée s’était empressée d’affirmer qu’il s’agissait là d’engins anciens qui avaient été posés avant la guerre mais qui n’avaient pas explosé. Ce n’est qu’au courant de l’après-midi que les autorités militaires ont reconnu que le Hezbollah avait profité de la météorologie tumultueuse de ces dernières semaines pour s’approcher de la frontière et placer ces engins.

Que cette initiative ait été celle du Hezbollah ou de Damas, il sera important de voir quelle sera la réaction israélienne. Sur le plan diplomatique, l’ambassadeur d’Israël aux Nations-Unies, Dany Gillerman a adressé une lettre de protestation mais qui restera sans doute « lettre morte » puisque c’est Israël qui est en la victime.

A niveau militaire, on craint que d’autres charges explosives aient été posées dans d’autres endroits, et les consignes de vérification ont été redoublées. Les consignes de tir ont été également allégées, permettant aux soldats de tirer sur toute personne suspecte qui s’approcherait de la frontière, d’autant plus que de nombreux terroristes du Hezbollah se déplacent habillés en civil.

Au Commandement de la Région militaire nord, on ne cache pas que le Hezbollah a décidé de tester la volonté et la capacité de réaction de Tsahal. On montre également du doigt le gouvernement libanais qui s’illustre par son inaction.

Mais la question est de savoir si l’échelon politique va suivre en décidant d’une réplique musclée, ou s’il va adopter, sur ce front aussi, sa fameuse «politique de retenue» dont on sait ce qu’elle nous coûte.

Plus recemment, j'ai reçu un mail d'un internaute sur ce sujet :

par ACTIF TITRE: COMME D'HABITUDE! le mardi 6 février 2007 11:32


LA FORCE DE LA FINUL DEVIENT ENTRE LES MAINS DU HEZBOLLAH UN PARAVENT QUI
PARALYSE TSAHAL IL SUFFIT DE FAIRE UNE ACTION TERRORISTE ET DE S'ABRITER DERRIERE ELLE EN SACHANT QUE LES ISRAELIENS REGARDERAONT A DEUX FOIS AVANT DE REPLIQUER.
L'ARMEE LIBANAISE EST COMPLICE ET N'A AUCUNE ENVIE DE SE CONFRONTER AVEC LE HEZBOLLAH ALORS IL RESTE AUX ISRAELIENS
QUE DEUX SOLUTIONS, SOIT ACCEPTER CET ETAT DE FAIT SOIT DES QU'IL Y AURA MORT D'HOMMES D'EXIGER LE DEPART DE LA FINUL.

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 10:31

Netanyahou: 'L'Iran veut créer un Reich islamique'


 

Bibi.jpg"Mahmoud Ahmadinejad veut se doter de l'arme atomique afin de conquérir le monde et créer un empire islamique, un Reich islamique de mille ans". C'est ce qu'a déclaré ce mardi l'ancien Premier ministre Binyamin Netanyahou au cours d'une rencontre à Tel Aviv avec plus de 60 ambassadeurs étrangers.

"Je l'ai déjà dit récemment: nous sommes en 1938 et l'Iran est comme l'Allemagne nazie, il s'agit d'un régime extrémiste prêt à tout pour arriver à ses fins. Ce régime menace haut et fort d'exterminer l'Etat d'Israël et représente aussi un sérieux danger pour le monde entier, y compris les pays arabes et les musulmans", a également averti le chef de l'opposition.

Binyamin Netanyahou a poursuivi son discours en déclarant que les propos du chef du Mossad concernant l'évolution du programme nucléaire iranien n'étaient "certainement pas une sirène d'apaisement mais au contraire une sonnerie d'alarme". Le chef du Mossad Méir Dagan avait déclaré hier (lundi) aux membres de la commission parlementaire de la Défense et des Affaires étrangères que Téhéran pourrait disposer de sa première bombe atomique entre 2008 et 2010, si rien n'entrave le processus d'enrichissement d'uranium.

"Trois ans ce n'est pas beaucoup de temps, c'est 1000 jours, mais c'est suffisant pour stopper l'Iran et vos gouvernements devraient rapidement mettre en œuvre tous les moyens économiques, politiques et juridiques pour torpiller les plans de Téhéran", a déclaré M. Netanyahou aux diplomates étrangers.

Prenant la parole après le chef de l'opposition, l'ancien ambassadeur d'Israël à l'Onu Dore Gold a présenté son initiative visant à déposer une plainte contre l'Iran au tribunal international de la Haye. "Les propos du président iranien appelant au génocide d'un peuple entier sont contraires à la Convention contre les génocides de 1948, ratifiées par vos pays. Des experts juridiques ont confirmé que Mahmoud Ahmadinejad a enfreint cette Convention", a souligné l'ex-diplomate.

Pendant ce temps, aux Nations-Unies, d'interminables pourparlers se poursuivent entre les pays membres du Conseil de Sécurité afin d'élaborer une résolution comprenant des sanctions internationales contre Téhéran. La Russie, qui a longtemps imposé son veto à toute sanction contre l'Iran, serait à présent prête à accepter un nouveau texte élaboré par les diplomates européens. Mais le président iranien, fidèle à lui-même, ne se laisse guère impressionné par ces développements. "Aucune sanction internationale ne pourra stopper notre programme nucléaire", a annoncé Mahmoud Ahmadinejad.  

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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 15:22
A gauche de l’image, une mère pleure son enfant de 6 ans, mort dans le camp de réfugiés de Balata, proche de Naplouse, en Cisjordanie. Khaled Walawil se trouvait chez lui, devant une fenêtre ouverte, quand il a reçu une balle dans le cou, tirée par des soldats israéliens. Une balle perdue, semble-t-il: les militaires, installés dans une jeep à proximité, répliquaient aux jets de pierres de jeunes Palestiniens. Selon les médecins, l’armée israélienne aurait stoppé durant quinze minutes l’ambulance qui transportait le garçon à l’hôpital. Une enquête est ouverte.

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On se souvient de l’événement : samedi 27 mars, un enfant est tué d’une balle dans la nuque, à la fenêtre de sa maison.

Comme d’habitude on accuse l’armée israélienne. Voir notre reportage, intitulé "Et pour quelques victimes de plus: instrumentalisation des morts d’enfants!"

Dans ce document, je faisais état de ma quasi-certitude que c’était la balle de ce tireur embusqué qui avait atteint l’enfant.


C’est ce jeune homme armé que la vidéo montrera, un peu plus tard, en train de tirer sans précision.


Aujourd’hui nous disposons de plusieurs témoignages qui corroborent ma version. Ils semblent d’autant plus irrécusables qu’ils émanent de journalistes, tant étrangers que palestiniens.

Nos amis de la revue juive L’Arche viennent de nous communiquer l’enregistrement du Zapping de Canal + du 29 avril (1). Vers la fin des séquences figurent 2 extraits des reportages consacrés à ce drame : l’un, de France3, l’autre, de TF1.

Comme c’est l’habitude, à France Télévision, FR3 incrimine Tsahal (presque en direct) et affirme, avant même que la moindre enquête ait été réalisée, que l’armée israélienne tirait à balles réelles.
En fait, à en croire Tsahal, ce jour-là les armes des militaires n’étaient pas chargées à balles réelles.
Et pour celles et ceux qui ont pour règle de ne jamais croire ce qu’affirment les Israéliens, voici la transcription de l’extrait du second reportage : celui de TF1 :

« …Mais au coin d’une ruelle, un Palestinien armé d’une kalachnikov attend une occasion. Au jugé, il tire. Une seule balle, qui ricoche sur le blindage de cette jeep et traverse la fenêtre d’une maison, à 10 mètres de là. Khaled Walwil, 6 ans, s’effondre, tué sur le coup. »

Un officier israélien interviewé dans sa jeep peu après le drame :

« Ils nous ont tiré dessus, les terroristes. La kalachnikov du terroriste nous a ratés, parce qu’il n’a pas eu le temps d’ajuster son tir. Résultat: ils ont atteint un enfant innocent. »

Et le commentateur de TF1 de conclure :

« Pour une fois, tous les témoignages concordent avec le récit de l’officier israélien Y COMPRIS CEUX DES JOURNALISTES PALESTINIENS PRESENTS SUR LES LIEUX. »


  • Deux reportages donc : l’un de la chaîne de télévision nationale France3, l’autre de la chaîne privée TF1.
  • Deux témoignages et deux versions radicalement différentes du même fait, sur base, pourtant, des mêmes images.
  • Qui croire, donc ?
  • Vous l’aurez deviné sans doute : personnellement, je fais confiance à TF1.

Avertissement à l’attention de France Télévision :

S’il s’avère que c’est bien l’arme du jeune terroriste que l’on voit tirer, qui a tué le petit Palestinien, alors, cette fois, les responsables de l’information de France Télévision devront être sanctionnés de manière exemplaire, car ce flagrant délit de distorsion de l’information au profit de la cause palestinienne, jette un discrédit rétrospectif terrible sur la fiabilité d’une chaîne (France2) qui n’a pas hésité à
  • accuser l’armée israélienne de l’assassinat de Mohammed Al Dura, malgré les nombreuses invraisemblances des témoignages et les doutes que soulèvent les images de la vidéo;
  • à annoncer la démission de Juppé avant même que l’intéressé ait fait part de sa décision… de ne pas démissionner;
  • à tolérer que le journaliste Thierry Thuillier ait plaqué sur les images d’une banale confrontation entre des enfants jeteurs de pierres et des soldats de Tsahal, une interview relatant la mort par balles de trois jeunes Palestiniens, au même endroit (mais antérieurement et à des dates différentes), donnant ainsi aux téléspectateurs l’impression que ces morts avaient lieu au moment même où Thuillier réalisait son reportage;
... et sur l’objectivité de l’autre chaîne de France Télévision - France3 - qui, sans attendre les résultats de l’enquête, impute à Tsahal la mort d’un petit Palestinien, en commentant les images de l’événement, de manière à persuader le téléspectateur que l’enfant est tombé sous des balles israéliennes, et ce au mépris du doute légitime sur cette version des faits, qu’aurait dû susciter la séquence où l’on voit un jeune palestinien tirer… à balle réelle, cette fois… la balle qui a tué l’enfant...


Oui, pour tout cela, France Télévision devra rendre des comptes.

Cette fois, nous ne lâcherons plus les complices de la haine publique dont les Israéliens et les Juifs du monde entier sont victimes.


Menahem Macina

© upjf.org


(1) Voici le lien à l’extrait enregistré :
rtsp://realserver.coltfrance.com/canalplus/zapping/zapping_290304.rm

Attention ! Pour l’atteindre, il faut
  1. lancer Real Player (Real One)
  2. Ouvrir l’item "location" du menu et copier/coller le lien ci-dessus
N.B. : la séquence se situe vers la fin du clip, à l’instant 3min16s sur un total de 4min38s Update 9 avril 2004 Update 14 avril (AC-medias)
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8 novembre 2006 3 08 /11 /novembre /2006 20:05
Recemment , nous avons mis la main sur le site officiel de l'association Ta'ayush.
Cette socièté à pour but de soi disant "Parvenir à une paix durable entre Israel et la Palestine"...
Interessé , je commence à naviguer sur ce site et quelque chose me frappe :
Certes, il y a nombre d'article concernant la pauvreté des Palestiniens et leur condition de vie en Palestine et à Gaza.
Il avrait qu'après les récents affrontements qui ont provoqué la perte de vingt civils palestiniens, c'est encore un dossier chaud.
"THE WALL MUST FALL !!" ("LE MUR DOIT TOMBER). Voici ce qui défile en permanence sur le site. Cela fait bien evidemment référence au mur de protection qu'a levé Israel en prevision des attaques kamikazes futures.
Mais petit à petit je me rend compte, que TOUT le site ne contient que des messages visant à démontrer que l'Etat d'Israel est un "Etat à la démocratie abstraite et dangereux pour l'etat démocratique de Palestine"

Il me suffit tout simplement de reprendre la description que se font eux même les dirigeants de cette association:
"...travailler au sein des communautés locales sur des projets concrets qui radicalise (!)
les participants..."
"...Ta'ayush s'est fondé sur sa composition Arabe-Juive.
Depuis Decembre 2000, des convois de paix organisés par groupe apportent nourriture et soins aux villages palentiniens assiégés (!) ..."
Apparemment, cette association a peut-être oubliées qu'entre temps, des villages du Nord d'Israel avaient été bombardés par des roquettes Katiousha !


"...les camions ont croisé les lignes et ont surmonté  les points de contrôle militaires et les harcélement des soldats et des colons..."
Par ce définitif de "colons", cette association (qu'elle comporte israeliens ou pas...) ne reconnait l'Etat d'Israel en tant que tel !

Ainsi elle affirme sont penchant vers les Palestiniens et de ce fait AUTORISE LES ACTES DE TERRORISME.
C'est pourquoi j'esquisse un sourire aussi jaune que le jaune lui même en lisant que cette association et pour un paix.
OUI , elle est pour une paix...
OUI , elle ne veut plus de violence...
Mais cette associations veut cette paix avec tout l'Etat d'Israel à la mer.

Tout le contenu du site vise à montrer que toutes ces violence sont le fruit de la création d'Israel.
D'autre part, la fin de l'article présentant cette association est signé par une dernière phrase :
"Les Palestiniens sont toujours sur leurs terres.


Ta'ayoush est en lien étroit avec l'AFPS (Association France-Palestine Solidarité).
Voici les articles que publie cette dernière :
"Une place Hertzl à Paris !
publié le lundi 3 juillet 2006

communiqué de l?AFPS
 

L?inauguration prévue le 5 juillet prochain à Paris d?une place portant le nom du fondateur du sionisme Theodor Herzl constitue une véritable provocation. Au moment où ses héritiers politiques au pouvoir soumettant le peuple palestinien au siège, au blocus, à un déluge de feu, détruisent les infrastructures et les institutions palestiniennes, intensifient la colonisation et violent impunément le droit international et les Conventions de Genève.

L?AFPS demande avec insistance l?annulation de cette indécente cérémonie prévue, indigne des traditions de la ville de Paris.

Le bureau national de l?AFPS Paris le 3 juillet 2006"

Qui provoque dans cette lettre ? Qui fait preuve de discrimination dans cette lettre ?
Qu'est ce que le nom d'une place à Paris vient faire dans le conflict Israelien-Palestinien ?
Théodore Hertzl n'a été qu'un grand idéologue, voulant la paix pour tout les juifs du monde entier.
Le conflict n'a rien à voir là-dedans !

Un autre titre dans une dépêche du site de l'AFPS (qui je le rappelle touche l'association Ta'ayoush):
Contre la guerre totale israélienne en Palestine : La France doit intervenir
publié le vendredi 30 juin 2006

Communiqué AFPS
 
Des rassemblements sont prévus à Paris, Lyon, Montpellier, Marseille, Limoges, Metz, Mulhouse...

Tout les arguments sont bons, même les plus insensés sont utilisés : guerre totale ??
Israel se défend, et pourquoi y'a t'il tant de mort du cotés des civils Palestiniens ? Parce que les terroristes , en particulier le Hamas est trop lache pour se montrer à découvert et préfre placer les enfants devant les émeutes et en les faisant passer pour des martyr !
Où avons nous déjà vu des gens plaçant leurs enfants en premiere ligne lors d'émeutes ?
Ceci est une preuve flagrante de la fausse volontée de paix du gouvernement palestinien !



AINSI l'ASSOCIATION TA'AYOUSH ET AFPS NE SONT PAS DES ASSOCIATIONS POUR LA PAIX MAIS DES PROVOCATEURS ET DES ANTI-COLONIALISTES DONNANT RAISON AU TERRORISTES.
Battons nous devant eux , montrons leur que l'Etat d'Israel n'est pas un Etat terroristes. Rappellons leurs que lors de la création d'Eretz Israel, l'ONU avais mis en place un plan de partage entre Israeliens et Palestiniens.
Rappellons leur simplement que les Israeliens, même si tous ne sont pas vraiment innocents dans le conflicts recherches, EUX, une paix durable sans  avoir moyen de construire un mur defigurant le paysage. Mais si tel est le prix pour protéger nos enfants, il ne cessera d'exister tant que les attaques ter
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